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Longtemps réservé aux investisseurs institutionnels, le non coté s’est progressivement ouvert aux patrimoines privés. À l’horizon 2026, investir en private equity exige plus que jamais méthode, discipline et accompagnement.
L’actualisation 2025 des valeurs locatives par station de métro réalisée par Cushman & Wakefield révèle une polarisation accrue entre actifs ultra prime et secteurs confrontés à une offre excédentaire, dessinant déjà les lignes de fracture de 2026.
La transmission patrimoniale est souvent repoussée au dernier moment, par crainte de se déposséder ou par méconnaissance des règles. Pourtant, le droit français offre un cadre clair et relativement stable pour organiser des donations progressives, à condition d’en maîtriser précisément les mécanismes et les plafonds.
Les épargnants parlent volontiers de rendement ou de risque, beaucoup plus rarement de durée. Pourtant, l’horizon de placement est l’une des variables les plus déterminantes en gestion de patrimoine, et paradoxalement l’une des moins bien intégrées dans les décisions d’investissement.
Les placements dits « sans risque » rassurent par la stabilité de leur valeur nominale. Mais cette stabilité masque souvent une réalité moins visible : sur les dernières années, leur rendement réel a été très largement amputé par l’inflation, parfois au point de devenir négatif malgré des taux affichés en hausse.
Après deux années de reflux, le marché mondial des fusions-acquisitions connaît en 2025 un rebond d’une ampleur rare : la valeur totale des transactions devrait atteindre 4 800 milliards de dollars, soit +36 % en un an, selon Bain & Company.
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